vendredi 17 novembre 2017

Linux Fedora et le système de mise à jour.

J'ai essayé d'installer VirtualBox sur Fedora Xfce 26.
En voulant installer Xfce27  dans  une machine virtuelle j'ai obtenu un message d'erreur me demandant d'installer kernel-devel.  Ce que j'ai fait. Le message étant réapparu après cette mise à jour j'ai essayé d'installer d'autre mise à jour concernant le Kernel. Je me suis retrouvé avec une nouvelle version du noyau  et une nouvelle option dans le menu de boot.
J'ai donc essayé cette nouvelle version du noyau et me suis retrouvé avec une avalanche de problèmes rendant le système  quasiment inutilisables même pour le test: blocage shutdown, alertes  Selinux , plus de montage autofs... Je me doute  que la liste aurait continué de grossir si j'avais persisté à utiliser ces mise à jours.
C'est dommage car jusque là tout s'était bien passé lors de l'installation de nouveaux packages avec YUM. Cette situation est particulièrement ironique car je voulais en premier lieu utiliser VirtualBox pour tester Fedora Xfce 27 une des raison de l'existence des machine virtuelles. Je vais donc à nouveau me méfier de YUM et utiliser le disque  ou l'image ISO pour installer de nouveaux package.

Je pense que ce genre de problème est pour beaucoup dans le fait que les parts de marché de linux chez les utilisateurs domestiques est resté aussi faible.

Je vais me permettre de faire quelque suggestions sans être certains de leur utilités:

Si une personne installe une f26 et donc une version réputée stable  alors yum ne devrait pas proposer de versions réputées instables.
Si une personne installe f27 on pourrait même proposer une version stable de base et proposer aux choix des package ou groupes de packages  instables à tester pour que l’instabilité laisse suffisamment de possibilité pour permettre le test lui même.

samedi 11 novembre 2017

Paranoïa et internet

Internet est probablement un très bon moyen d'observer, analyser et de modifier le comportement d'un individu. Je me suis à de très nombreux moments demandé si des expérimentations (que je n'ai pas autorisées) étaient pratiquées sur moi.

J'ai déjà mentionné dans mes blogs et signalé à la justice l'atteinte à la vie privée sous forme d'enregistrement audio et historique de navigation. J'ai déjà mentionné aussi la modification de scénarios de films DVD qui suppose la collecte d'information sur le comportement du spectateur. 

Mais l'espionnage peut-aller encore plus loin avec l'utilisation d'images ou de son subliminaux pouvant être utilisé dans un  cadre criminel pour avoir une  estimation de la probabilité de culpabilité. Je parle là d'expérience personnelle. Une personne attaquée peux détecter dans certain cas ce qui se passe. Permettre la détection peut-être aussi une tactique pour provoquer l'anxiété ou un sentiment de culpabilité. 

Il y a aussi le sabotage. 
Par exemple à l'instant je corrige un texte. Mais sans que je l'ai demandé le curseur passe (si ce n'est pas un erreur de frappe)  du mode insertion en écrasement . J'ai aussi le cas ou l'écran change de luminosité ou de contraste et ne permet plus de discerner des informations nécessaires à la compréhension de la page. Il y a aussi la non prise en compte des informations de clic de la souris et des altérations de sa position.

Dans la modification de comportement  vous pouvez aussi induire des phobies provoquées ou un amour provoqué en utilisant la superposition d'un signal.  On peut ainsi provoquer ou augmenter la haine d'un personnalité politique ou du show-business. On peut aussi  encourager ou décourager certaines pratiques sexuelles lors de la visualisation de films pornographiques. 

On peut provoquer en mixant le tout des crise nerveuses, des crise d’épilepsies, et aussi probablement  des maladies mentales.

Vraiment ça coupe l'envie d'aller sur internet!